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28 décembre 2015 1 28 /12 /décembre /2015 23:36

Ceci confirme que je ne suis pas le seul à confirmer l'imbécilité de certains petits personnages et en avoir vécu des supplices !!!

Extrait d'un page web http://www.inventerpasrever.com/babaz-inov-escroqueries-du-brevet-dinvention.html

Mais passons au détail. Les employés de ces organismes sont en fait des fonctionnaires, car, pour l’exemple français, .......... est la « propriété » de l’état. Tous les documents sont estampillés « République Française ». C’est tout dire. Et comme pour la plupart des fonctionnaires, ou assimilés, ils n’avouent jamais leurs erreurs, les conséquences de leur lenteur, leurs fautes « professionnelles », leur incompétence servie par leur faiblesse intellectuelle. Cette « capacité » les interdit de comprendre leur erreur, notion absolument absente de leur organisme, car désigné comme « officiel », « d’état » et régi par des lois internes conservées dans un code qui leur donne tous les droits, tous les pouvoirs, et relègue l’inventeur, véritable propriétaire, au rang d’esclave. Pour ce faire, pour accepter sans rechigner, sans poser les questions dérangeantes, l’inventeur se doit d’être lobotomisé.

La grande stratégie d’escroquerie de cet organisme réside dans le fait d’entretenir l’obscurantisme sur la réalité des choses, et des réelles lois. Cet organisme fait étendard de son indiscutable privilège puisqu’il est « officiel » et d’état. Et leurs serviles « soldats », fonctionnaires, bien à l’abri derrière l’institution d’état qui leur garantit tout pouvoir et immunité à grand renfort de lois qu’ils se sont rédigées, montrent un zèle extraordinaire à abuser de leur pouvoir fictif… Aussi, quand ils ne savent que répondre à une question ou une mise en évidence de leur défaillance, il se réfugie derrière leur code et la détourne en prétextant de faux arguments, ou élude le sujet en occultant les positions dérangeantes. « Excuse », « Pardon », « nous allons rectifier notre erreur » sont des termes absolument bannis de leur vocabulaire. Leur malhonnêteté est absolue car leur mode de penser est tel, qu’en tout état de cause, même si une erreur est présente, preuve à l’appui, elle ne peut, manifestement et obligatoirement, que provenir d’une faute du déposant. Et même si ce n’est pas de sa responsabilité, c’est toujours lui le coupable qui payera, ou alors, le silence se fera…Mais il aura à le faire d’un ton asservi, s’il ne veut pas subir les humeurs du maître de séant. Auquel cas, l’inventeur devra aller au tribunal pour avoir gain de cause, ce qui lui coûtera du temps et de l’argent. Ce qui ne pèsera en rien sur la vie de cette institution, ni de ses « habitants ». Tout au plus, en cas de défaite juridique, l’organisme de droit divin n’aura qu’à rectifier. Sans autres conséquences. Facile pour eux de se montrer supérieur sans aucune prise de risque, ni même de leur poste ou de leur salaire.

Leur hégémonie est si précaire, et nous le démontrerons ultérieurement, qu’ils ne peuvent avouer toute erreur de leur part, ce qui risquerait de mettre en danger leur notoriété, et surtout, leur crédibilité. Mais aussi principalement, l’exercice de leur pouvoir. Bien évidemment, si « dieu » commettait des erreurs, il ne serait plus dieu. L’absence de fiabilité à 100% provoquerait une remise en question totale de leurs propos péremptoires, et de leur statut seigneurial. Ainsi, à l’instar de la plupart des systèmes judiciaires de par le monde, pour asseoir leur « haute » autorité, ils ne peuvent accepter de reconnaître leurs erreurs ! Un aveu d’erreur, qui démontre une attitude opposée au ridicule et au médiocre, pourrait laisser planer ce doute, si dangereux, dans l’esprit, normalement bien vivace, des inventeurs qui se mettraient à réfléchir sur ce que sont réellement ces organismes, et la compétence de ses « employés »… Cela engendrerait une conséquence désastreuse, au plan financier, sur ces derniers.

Cet extrait de texte rend si parfaitement l'image de ce que j'ai vécu. L'homme qui a écrit a certainement vécu lu iaussi des moments éprouvants face à ces ......

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28 décembre 2015 1 28 /12 /décembre /2015 22:39

La vie s'écoule, les blessures s'étant installées, il faut vivre avec celles-ci le temps que cette vie puisse retrouver le soleil . Les suites de cette histoire, ce n'est qu'au fil des années que l'on constate un mal être qui fait partie du moi.

Je pense avoir de tout temps, au moins certainement pendant cette longue épreuve, pu disposer de la force nécessaire pour gérer les dégâts collatéraux que cette violence a pu imprégner tant dans mon corps que dans chaque action dans ma vie personnelle et professionnelle.

On encaisse tant que le coprs peut accepter, puis un jour, plus de place, on se doit de refuser et se rebeller, c'est ce que j'ai fait, mais pas dans la violence. ma rebellion c'était la revanche, un défi à relever.

J'en ai déjà parler à une ou deux reprises, ma revanche passait par la créativité, la mienne. Et celle-ci m'a permit d'adoucir les coins de ma violence interne. Néanmoins, aujourd'hui je n'ai pas encore pu savourer cette revanche, j'y crois à 1001 %, c'est juste une question de moment et d'y croire. Sur ce point, nul doute, je crois en moi.

Je voulais revenir un peu sur ce mal être; Lorsque l'on est dans la souffrance de faits, on n'imagine pas que la blessure est bien plus profonde que l'on pourrait penser. cette blessure, ne se cicatrise pas sur un simple claquement des doigts, il faut un long moment, voir des années. Et aujourd'hui, je me rencontre de la profondeur où le mal fait m'a blessé !!!

Les dommages collatéraux que l'enculé de juge lors du procès a négligé sciamment sont bien là. Le coprs et l'esprit encaissent toujours au même rythme et en attendant, il s'use à se battre contre le mal fait.

Cinq ans déjà que je suis seul, cinq ans que je me bats contre mon fantôme. Cinq ans que je souhaite retrouver une vie amoureuse et cinq ans que je me sens pas prêt. Et je ne le suis pas car à ce jour, mon défi n'est pas relevé. Je ne me sens pas dans une position agréable qui me permettrai de vivre une relation de couple. Ca ne marche pas et rien de positif n'est venu me réconforter à ce jour.

J'aimerai pouvoir avoir quelqu'un près de moi mais mon amour propre et ma dignité m'oblige à d'abord relever mon défi, puis à ce moment là, je pourrai enfin me dire; Vas-y, maintenant tu es prêt ! Puis de toute façon, il n'y a personne de vraiment intéressant au portillon ...

Dans une prochaine page, j'intégrerai un extrait d'un texte qui exprime si bien, les adversaires qui furent devant moi et qui m'ont blessé !

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29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 14:03
pardon
pardon

Le temps qui passe malgré que le mal fait ne fût jamais réparé dans la vraie valeur absolue, l'humaine, je pense qu'il est à présent temps de me libérer et de poursuivre ma route vers le mieux, celui que j'ai toujours souhaité vivre.

Pendant ces onze années, j'ai vécu une grande souffrance morale suivie par de trop nombreux renoncements. J'ai souffert parce que j'avais été abusé, violé même, au plus profond de mon être, dans l'hémisphère central qu'est l'honneur.

j'ai perdu beaucoup d'espoirs, de chances et d'amour. J'ai vécu et supporté les nombreux manques, les absences et la tendresse aussi.

je n'ai plus su aimer, ni de tendresse, ni d'attention, le venin m'habitait. Celui-ci plus communément connu sous le vrai nom de la haine a traversé tout mon corps et parcouru mes entrailles se transformant souvent en stress pour à son tour, blesser pour faire mal.

J'ai vieilli, j'ai résisté mais je me suis usé car j'en attendais si tant d'un acte de justice qu'en définitive cela n'en fût qu'une vulgaire mascarade. Une histoire de clowns dont j'en étais bien malgré que la baudruche que certains s'étaient permis de malmener.

D'autres probablement plus avisés eux, ne font pas confiance en ce cirque, ils règlent directement les choses par les armes comme autrefois, en duel.

Probablement avec le recul c'est ce que j'aurai dû faire.....

Aujourd'hui, j'ai tourné la page, mais oublier ce n'est pas possible, le sac contenant le mal est lui toujours bien présent, innactif certes, néanmoins il est là comme un muret pour empêcher d'aller là où l'on aurait souhaité pouvoir aller ......

Pourtant j'ai pris la décision de me pardonner. Me pardonner d'avoir fait de mauvais choix. Me pardonner d'avoir fait des erreurs. Me pardonner d'avoir cru en une justice digne. Me pardonner d'avoir certainement fait du mal à des proches alors que je souffrais. Me pardonner cette fois pour avoir eu le courage de ne pas recommencer là. Et me pardonner très fort pour avoir manqué de vigilance et fait les mauvais choix en 2003.

Puis je dirige ce pardon vers ces gens qui ne devaient certainement pas savoir ce qu'ils faisaient !

A présent, je me souhaite une longue et merveilleuse vie.....

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5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 15:00

 

Bonjour cher(e)s visiteur(se)s

 

Le temps passe, les blessures toujours présentes. Sauf que suite à ma décision de ne pas engager une procédure d'appel j'ai pu mettre un peu de distance avec ce foyer infectieux.

 

Néanmoins j'ai réécrit la biographie totalement en fonction du jugement mais plus encore en rapport avec l'état dans lequel l'on m'a laissé, exangue pour le nommer.

 

Un peu comme si une personne vous fait un croc en jambe, vous tomber et vous avez eu très mal. la personne vous rétorque; oui, je vous ai fait tomber mais vous n'auriez pas dû passer à ce moment là et cette personne vous laisse à terre. C'est approximativement la situation que j'ai subie et banalisé par ce tribunal puisqu'il ne m'a même pas remis dans la situation qui précédait l'histoire vécue.

 

Donc pour moi, il n'existe aucun acte de justice dans cette boufonnerie qui a tout de même trainé trois ans et qui me laisse dans un caca économique indigne d'un pays sensé protéger les droits de l'homme. Abérrant !

 

On abat l'homme et on le laisse crever comme un chien. Qu'il se débrouille et basta.

Que ce fût au début de l'histoire où j'ai demandé de l'aide qui me fût refusée et le contenu du jugement c'est pareil au même, victime tu reste une tache qui n'intéresse personne.

Par contre, on s'agenouille et l'on se prosterne devant un coupable en tentant de lui trouver toutes les circonstances atténuantes afin d'amenuiser ses fautes.

 

Je n'ai pas eu droit à un acte de justice pour ce que j'ai vécu et subi, j'en suis très conscient, mais que voulez-vous que j'aurai dû faire. Faire appel, oui bien évidemment, mais j'en avais marre de vivre ce cinéma. Du jugement reporté à l'infini au mépris des gens et de leur vécu en passant par l'ignarité du juge qui n'a jamais tenu compte de l'ensemble des faits, non j'en avais assez, je voulais tenter de me reconstruire en oubliant ces dix ans.

 

Puisque lorsque l'on vous a volé dix ans à 50 ans, vous en avez donc 60 à la fin du jugement et vous n'avez aucuns droits, rien. Tout doit être reconstruit, refaire totalement votre vie professionnelle à l'heure où le chômage a envahi toutes les couches de la population. Reconstruire une activité professionnelle à 60 ans puisque vous n'avez aucun espoir comme employé ou comme ouvrier, faut disposer de moyens. Mais comme ce tribunal ne vous a même pas remis dans une situation d'avant préjudice, vous vous trouver exactement dans le même caca économique face aux banques simplement pour tenter d'obtenir un quelconque crédit pour travailler. Hors pour vivre, il faut travailler ou avoir un revenu de subsistance, donc vous avez compris, être victime au pays des droits de l'homme c'est ce faire mettre bien loin !

 

Mais dans mon cas, il ne faut pas oublier que j'ai subi un divorce et que moralement un tel échec professionnel ne vous met certainement pas en position d'ouverture pour faire une nouvelle rencontre puiqu'en définitive, intérieurement vous ressenter un état d'impuissance puisque vous n'êtes plus rien sur la terre. Donc là non plus ce n'est pas possible de faire quelque chose de positif, donc .....

 

Je reviens sur ma biographie, j'en suis fier, totalement réécrite elle représente un excellent travail de composition, j'en ai partagé quelques textes avec des amis écrivains, tous sont unanimes pour saluer la force et le caractère de ma plume.

 

J'ai ce rêve, que des milliers de lecteurs puissent l'acheter, ainsi ceux-ci connaitront la minabilité et ce que l'on peut subir dans un pays qui se vante d'être respectueux envers les droits de l'homme. ce sera un peu de ma revanche

 

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 14:48

Bonjour,

 

Après une sérieuse réflexion, mais aussi conseils pris auprès de deux avocats différents, je décide de passer à autre chose.

Je me suis fait 'entubé' par l'état belge, entité juridique et ces fonctionnaires incompétents irresponsables et j'en porterai les stigmates à vie.

Selon les avocats où j'ai pris conseil, mon dossier n'a pas été pris en main correctement par ceux qui l'ont géré pendant ces années. En fait, comme je le citai souvent, j'ai bien été à la guerre seul et sans armes, rien n'a été vraiment fait pour m'aider à constituer un dossier concluant, j'étais le seul combattant puisque l'avocat ne transmettait que mes argumentaires dans le dossier juridique.

En toute logique comme cette histoire subie, l'avocat aurait du me conseiller un expert psychiatre agréé afin que celui ci présente un dossier médical opposable à la justice, ce qui m'aurait permis de revendiquer toutes ces années de souffrance, ce divorce subi et cette immense perte de mes valeurs. Rien n'a été fait en ce sens, je ne savais pas que cela était possible de faire et malgré mes nombreuses doléances de souffrance, le tribunal n'en a jamais eu l'information.

 

J'ai à un moment voulu aller en appel car ce jugement me blesse plus encore et ne me remets même pas dans la situation que je me trouvais avant de subir ces faits. Franchement je ne crois plus à ce pays et j'ai décidé de clore ce chapitre.

 

Cet état ne me rendra jamais ce qu'il m'a volé, 10.000€ investi dans un projet qu'il a saboté par l'intermédiaire de ces fonctionnaires incompétents. Dix ans d'absence de cotisation pour ma retraite, empêchée par ce sabotage et dix ans d'une vie perdue.

 

Quand je pense à une phrase transmise par un des avocats qui dit qu'il va me poursuivre pour procédure vexatoire, non mais quel est cet enculé qui se permets de se moquer de 10 ans d'une vie volée. Un préjudice certes assez compliqué à justifier puisque l'on m'a cassé les ailes alors que je lançais le projet avec mes fonds propres, sauf que j'y ai tellement investi de ma sueur et de mon temps sans compter l'argent et l'amour dans ce que l'on fait.

Ce poulet écervelé ce prends vraiment pour qui, le Roi des singes, parce qu'en fait c'est ce qu'il est. Qu'il en soit maudit.

Même aucun respect au delà du travail d'avocat pour un homme blessé.

 

Je devrai dire; Je n'ai pas joué, mais j'ai perdu. Alors j'ai compris la leçon. Maintenant l'état va me payer très cher, non pas au travers d'un appel, mais la vie l'obligera puisque je suppose que celle ci ne va tout de même pas négliger une offre de 15.000 emplois pour les chômeurs belges.

Alors ce sera ma revanche.

 

D'autre part, je n'ai pas envie de me faire éternellement souffrir, l'état est reconnu coupable de fautes, alors je dois me convaincre que j'ai gagné mon pari sauf que le coupable est un très mauvais payeur et que je n'aurai jamais ce qu'il me doit virtuellement.

Quoique le ministère des finances reste un gros voleur puisqu'il m'a pris de l'argent qu'il ne m'a jamais rendu, prétextant que le temps de la réclamation est dépassé. Lorsqu'il m'a volé pourtant il n'en a jamais fait mention ....................

 

Demain sera un autre jour.

 

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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 22:47

 

Ce 05 juin 2013, l'avocat me fait parvenir une copie de jugement. Je lis une première fois, puis je relirai un peu plus tard avec un peu de recul.

Ce que je lis au début est ceci; '''' Retient une faute dans le chef de l'Etat Belge, SPF Economie, pour les erreurs liées dans l'encodage et la transmission des informations et des données au niveau de la BCE;''''

Par contre, je suis accusé de ne pas m'avoir informé si l'état belge avait ou non bien fait son travail en matière de traitement des données  me concernant ! Quelle délicatesse, moi responsable alors que j'ai transmis au tribunal les informations reçues à l'époque par le guichet d'entreprise  où il n'existait aucune mention négative me concernant.

Si les informations fournies sont exemptes d'erreurs, comment voulez vous que l'on puisse un seul instant douter du travail bien fait, rien à ce moment là ne peut laisser penser à un imparfait.

Ce jugement me laisse blessé.........

Je viens de consulter 4 entrepreneurs, tous de milieux d'affaires différents, aucuns n'imaginent ce possible.

Je présume lorsque l'on veut créer une entreprise en Belgique, on doit impérativement vérifier si les fonctionnaires font bien leur boulot. Il y a lieu d'informer l'opinion publique sur ce fait précis.

Alors que l'on avait demandé la radiation 'définitive' de ce No pourri, il est cité " Que je peux le faire radier librement", c’est déraisonnable puisqu'il est radié depuis 12/2006, par contre si je veux créer une nouvelle activité professionnelle, le ministère de l'économie va me réattribuer ce .........."numéro pourri". Donc franchement comme ces 4 dirigeants d'entreprises l’ont confirmé; c'est stupide et je reste bien dans le caca économique.

Je n'entrerai pas dans les détails du jugement mais toujours est il que l'on a sous estimé la souffrance qui fût mienne tant pour moi que pour mes proches. A aucun moment je n’ai lu ni ressenti une motion, un mot sur les suites économiques causés.

Avec un peu de recul, m’installant dans un monde où l’imaginaire aurait le pouvoir de modifier les choses j'hésiterai entre l'épée et la puissance de la sorcellerie afin de faire comprendre la souffrance de perdre ce que j'ai perdu dans ma vie.

Maintenant, je suis en pleine réflexion, juste une semaine à réfléchir pour savoir quoi faire ou que penser. A 60 ans, trouver un emploi, j’ai déjà oublié qu’à 40 ans l’on est déjà trop vieux et couteux! Me lancer indépendant, oui mais je dois y renoncer car automatiquement l'on va me refourguer ce No pourri qui m’a causé 10 ans de préjudice, alors que dois je faire, me suicider pour en finir ???????????????????

Une chose est bien certaine, Mon projet de métier de service qui permettrai de créer 15.000 emplois rien qu’en Belgique, l'état belge va devoir l'oublier, pas question de nourrir un système qui m'a volé 10 ans de ma vie.  Pas d'emplois pour les chômeurs belges, ne m'en voulez pas mais adressez vous à qui de droit.

C'est peut être stupide ce que je dis, mais c'est du donnant/donnant dans la vie. Et 15.000 emplois ce n'est pas à négliger....

Moi j'en ai rien à faire, chacun sa merde, moi j'ai donné assez pour ce *** pays !

Si en fait, j’en ai à faire pour les gens qui n’ont pas de travail c’est pour cela que j’ai étudié et conçu ce grand projet mais comme le concept m’appartient, je déciderai ce qu’il convient de faire.

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 14:24

 

//  L'autre chamboulement est celui qui concerne la psychothérapie, et même la médecine. En effet, il est absolument impossible de guérir les symptômes liés à des occultations tant que celles-ci ne seront pas "désactivées". La non prise en compte de la notion d'occultation explique que des thérapies s'éternisent et que des patients s'épuisent à courir de médecins en guérisseurs de tous genres sans succès durable.
Tant que l'on n'a pas enlevé l'épine qui nous empêche de marcher, on n'a que faire des mots, des remèdes, des rééquilibrages énergétiques, des régimes alimentaires, etc. Certes, ces moyens peuvent constituer un indéniable soutien - et c'est pourquoi je ne les néglige pas - mais ils n'apportent jamais un résultat durable si les symptômes résultent d'occultations. Il faut donc commencer par enlever l'épine ! Notre être ainsi libéré saura comment retrouver l'équilibre perdu et nous conduira tout naturellement vers les changements qui s'imposent en nous et autour de nous...
Il me semble urgent que cette notion d'occultation soit connue. Car il se peut que nous vivions avec d'intenses souffrances passées dont nous n'avons aucun souvenir. Et lorsque la réalité réactivera notre passé (par exemple, lorsque nous deviendrons parents à notre tour) nous courrons le risque de reproduire ce que nous avons subi, et ce, sans savoir pourquoi nous le faisons.
Nous devons donc faire le maximum pour évacuer de notre être toutes les graines de violence qui s'y trouvent. C'est plus facile pour celles qui sont connues ; c'est plus difficile pour celles qui sont occultées. Mais je pense que l'effort mérite d'être entrepris car la paix des individus et, par conséquent, des nations en dépendent... ( http://forum.aufeminin.com/forum/sante25/__f51_sante25-Decodage-biologique-des-maladies-pour-en-guerir.html )       Puisqu'il a bien fallu occulter ces faits vécus et tenter d'ignorer voire mettre de coté cette haine profonde afin de pouvoir tenter de pouvoir vivre sans trop de pression, je me rencontre qu'effectivement j'ai un poids lourd  garé quelque part dans l'inconscient.  Vas falloir  le faire partir, je souhaite que ce jugement me rends l'honneur qui me fût volé pour me permettre de libérer mon esprit de ce poids lourd fort encombrant !!  

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 12:12

** Depuis plusieurs années, je me bats contre une fatigue qui ne s'explique pas puisque je suis en bonne santé. Celle-ci prenant un autre déguisement dans le monde psychologique et ces dégâts sont violents quoi que l'on puisse penser **   Par exemple, il m'est difficile de mettre en place de nouveaux projets tant que cette "saloperie infligée" ne soit pas sortie de ma vie, le cerveau lui se rappelle qu'un jour, les projets qu'il a conçu furent sabordés par ceux-là même qui sont au coeur de mon histoire vécue. Il lui est donc difficile de pouvoir mettre en place d'autres choses car encore aujourd'hui, en 2013 il se rappelle parfaitement les dégâts causés. Donc, il n'autorise pas L'auteur à mettre en pratique un projet que celui-ci a l'intention de lancer. Il s'agit bien évidemment de moi en l'occurence, logique non !!

 

Il y a plusieurs années mon médecin de famille lorsque des symptômes de mal être se sont installés dans la vie de chaque jour m'avait bien expliqué que ma vie redeviendrait positive lorsque je serai 'extrait' de cette malheureuse histoire subie. Avec le recul, je constate que cela est si vrai. pendant des années, j'ai tenté de repousser ces idées et cette notion de vérité 'doctorale'en m'investissant corps et âme dans l'étude de projets pour tenter de trouver un exécutoire à ma vie qui me permettait de faire fi des faits et de la situation causée. C'était sans compter que parfois des éléments de notre moi interne sont plus fort que nos envies. Que nos vies sont souvent dépendantes de forces plus fortes que nos rêves ou nos buts.

 

Alors vous me direz, faites vous aider il existe des thérapies; Je le sais depuis peu, mais qui donc va "payer celles-ci" moi en l'occurence apparemment car les responsables de la situation, eux n'en ont rien à foutre, isolés dans leur petite carcasse de fonctionnaire irresponsabilisée à vie............................ .

De telles thérapies durent des mois, des années parfois, alors c'est quoi, non seulement déjà dix ans d'une vie perdue et à nouveau encore d'autres années à venir pour réparer leurs dégâts.

Comme Johnny Halliday le chante, " http://youtu.be/XSSEKyaf-8Q ", cela ne finira donc t'il jamais ?          

 *****Je vous met ci-dessous un extrait d'explications sur le contenu écrit ce jour******;   

      

 

 Ces personnes ont une grande volonté "d'avancer" mais sont en proie à une immense fatigue. 

La plupart du temps, pour effectuer des tâches ordinaires elles doivent mobiliser toute leur énergie pour en venir à bout et se sentent terriblement diminuées. Elles se disent que leur tête va bien mais que c'est leur corps qui ne suit pas.

 

Elles doivent calculer au mieux l'utilisation du temps pendant lequel elles pensent pouvoir s'activer autour des actions quotidiennes car si le temps nécessaire est trop important pour elles, elles craignent de tomber d'épuisement et de perdre connaissance

 

Le fait même de devoir prévoir est un grand stress car cela les remet dans leur conflit qui est: "il y a le projet que je ne puisse aller jusqu'au bout de mon projet".

 

La correspondance organique du projet, c'est le nerf, l'action c'est le muscle.

 

Le nerf transmet l'information: projet d'action.

 

Le projet de projet, cela correspond aux commandes cérébrales, à l'élaboration du projet.

 

Le problème se passe au niveau du cerveau, centrale de commandes, au "bureau d'études".

 

Bien sûr, chacun fait des projets quels qu'ils soient, à court, moyen, long terme mais dans l'histoire de vie de ces personnes, une expérience a été vécue et ressentie de telle sorte que le cerveau a enregistré dans le "dossier" projets: "faire un projet ne sert à rien car je ne peux pas le réaliser".

 

Résultat, lorsque j'ai un projet, il ne sert à rien de se "lancer", de dépenser de l'énergie puisque cela n'aboutira pas donc le cerveau "envoi" le programme qui m'empêchera de dépenser cette énergie inutilement.

 

Programme de grande fatigue

 

La prise de médicaments, de sucre ou toute autre chose qui pourrait redonner de l'énergie ne fait qu'accroître le symptôme puisque cela rajoute du stress. (Il ne faut pas que je dépense mon énergie inutilement puisque je ne pourrai arriver au bout de mon action, le projet étant irréalisabl.

 

Dans certains cas (selon l'intensité du conflit), le médicament utilisé pouvant être efficace à "étouffer" le symptôme, après un court passage de "mieux" cela provoque une crise de fatigue beaucoup plus importante (puisqu'il y a eu "désobéïssance" au programme ordonné par le cerveau)  

 

 Voici des liens de site , je n'invente rien ; http://www.decodagebiologique.com/    http://www.iani.info/maladies.html     

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 00:17

 

  Ce 18 avril 2013, l'histoire vient d'avancer, le tribunal a donc décidé de rendre son jugement fin mai 2013.

Mon coeur retrouve un peu d'espoir après pratiquement deux années de 'chipotages' devant la justice, j'utilise ce mot car n'étant pas un utilisateur habituel des tribunaux je trouve que certaines parties ont fait trainer les choses par leurs pratiques de faire.

 

 Probablement que cela fait partie du 'jeu' mais quand on est victime et je les plains toutes, il est vraiment désagréable de subir ce type de chipotages qui font perdre du temps et de l'argent à chacun. Oui par exemple dans mon cas, mon préjudice se situe au niveau professionnel et personne n'a manifesté un simple intéressement ni ne s'est soucié que je vivais de grandes difficultés en cause justement l'objet de ce procès.

 

Je suis la victime et j'ai osé inquiéter les responsables de mes malheurs, j'étais donc la sale bête, le mauvais, celui montré du doigt, celui qui est en faute en fait. Eux les salauds, ils ont fait le pire pourtant ils osent minimiser leurs fautes impardonnables en matière commerciales en tentant de m'anéantir et m'accusant même d'avoir été le responsable des "données fautives". Quel monstrueux culot n'est ce pas et pourtant c'est dans les conclusions d'une des parties. C'est horrible et c'est à ce jeu là que l'on déstabilise les victimes !!!

 

Voilà donc ce 18 avril 2013, je peut enfin croire à la fin de cette histoire vécue. Il me reste à attendre 45 jours pour lire si la justice est juste......................

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 23:51

En septembre dernier j'avais émis l'idée de développer le blog en un outil destiné à aider d'autres personnes soit en proposant différents articles ou livres informatifs traitant globalement du même sujet que mon histoire vécue.

 

Il me semblait que cela aurait été utile, mais j'y renonce par manque de disponibilité et d'intérêt pour la cause. Dix ans de combat ça suffit j'ai envie de passer à autre chose dans ma vie.Donc ce blog dès l'histoire classée n'aura plus lieu d'être sur le net, il sera  supprimé.

Le manque de disponibilité correspond au fait que j'ai transférer ma haine de cette histoire dans la créativité et la conception de projets. Donc je préfère utiliser mes forces à quelque chose de plus constructif pour moi que de continuer à me bercer du malheur.

 

D'autre part, 4 projets ont besoin de beaucoup de temps et d'intérêt, à cela s'ajoute la biographie de cette histoire vécue a terminer lorsque le jugement sera rendu. Egalement un livre d'aventures en cours d'écriture qui sera adapté également en scénario pour une série. Je croise les doigts.

 

Puis mon objectif est de quitter cette belgique, cela reste bien un de mes buts de vie.......

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