Ceci confirme que je ne suis pas le seul à confirmer l'imbécilité de certains petits personnages et en avoir vécu des supplices !!!
Extrait d'un page web http://www.inventerpasrever.com/babaz-inov-escroqueries-du-brevet-dinvention.html
Mais passons au détail. Les employés de ces organismes sont en fait des fonctionnaires, car, pour l’exemple français, .......... est la « propriété » de l’état. Tous les documents sont estampillés « République Française ». C’est tout dire. Et comme pour la plupart des fonctionnaires, ou assimilés, ils n’avouent jamais leurs erreurs, les conséquences de leur lenteur, leurs fautes « professionnelles », leur incompétence servie par leur faiblesse intellectuelle. Cette « capacité » les interdit de comprendre leur erreur, notion absolument absente de leur organisme, car désigné comme « officiel », « d’état » et régi par des lois internes conservées dans un code qui leur donne tous les droits, tous les pouvoirs, et relègue l’inventeur, véritable propriétaire, au rang d’esclave. Pour ce faire, pour accepter sans rechigner, sans poser les questions dérangeantes, l’inventeur se doit d’être lobotomisé.
La grande stratégie d’escroquerie de cet organisme réside dans le fait d’entretenir l’obscurantisme sur la réalité des choses, et des réelles lois. Cet organisme fait étendard de son indiscutable privilège puisqu’il est « officiel » et d’état. Et leurs serviles « soldats », fonctionnaires, bien à l’abri derrière l’institution d’état qui leur garantit tout pouvoir et immunité à grand renfort de lois qu’ils se sont rédigées, montrent un zèle extraordinaire à abuser de leur pouvoir fictif… Aussi, quand ils ne savent que répondre à une question ou une mise en évidence de leur défaillance, il se réfugie derrière leur code et la détourne en prétextant de faux arguments, ou élude le sujet en occultant les positions dérangeantes. « Excuse », « Pardon », « nous allons rectifier notre erreur » sont des termes absolument bannis de leur vocabulaire. Leur malhonnêteté est absolue car leur mode de penser est tel, qu’en tout état de cause, même si une erreur est présente, preuve à l’appui, elle ne peut, manifestement et obligatoirement, que provenir d’une faute du déposant. Et même si ce n’est pas de sa responsabilité, c’est toujours lui le coupable qui payera, ou alors, le silence se fera…Mais il aura à le faire d’un ton asservi, s’il ne veut pas subir les humeurs du maître de séant. Auquel cas, l’inventeur devra aller au tribunal pour avoir gain de cause, ce qui lui coûtera du temps et de l’argent. Ce qui ne pèsera en rien sur la vie de cette institution, ni de ses « habitants ». Tout au plus, en cas de défaite juridique, l’organisme de droit divin n’aura qu’à rectifier. Sans autres conséquences. Facile pour eux de se montrer supérieur sans aucune prise de risque, ni même de leur poste ou de leur salaire.
Leur hégémonie est si précaire, et nous le démontrerons ultérieurement, qu’ils ne peuvent avouer toute erreur de leur part, ce qui risquerait de mettre en danger leur notoriété, et surtout, leur crédibilité. Mais aussi principalement, l’exercice de leur pouvoir. Bien évidemment, si « dieu » commettait des erreurs, il ne serait plus dieu. L’absence de fiabilité à 100% provoquerait une remise en question totale de leurs propos péremptoires, et de leur statut seigneurial. Ainsi, à l’instar de la plupart des systèmes judiciaires de par le monde, pour asseoir leur « haute » autorité, ils ne peuvent accepter de reconnaître leurs erreurs ! Un aveu d’erreur, qui démontre une attitude opposée au ridicule et au médiocre, pourrait laisser planer ce doute, si dangereux, dans l’esprit, normalement bien vivace, des inventeurs qui se mettraient à réfléchir sur ce que sont réellement ces organismes, et la compétence de ses « employés »… Cela engendrerait une conséquence désastreuse, au plan financier, sur ces derniers.
Cet extrait de texte rend si parfaitement l'image de ce que j'ai vécu. L'homme qui a écrit a certainement vécu lu iaussi des moments éprouvants face à ces ......