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6 août 2006 7 06 /08 /août /2006 17:35
Je n'y peux rien ,je deviens méchant, mais les évènements, les situations et le vécu me confirment que  cela n'est pas du gratuit ! La situation vécue chaque jour me pousse à sortir cette détresse transformée en haine hors de mon corps qui souffre tellement !!

Je lis et j'extirpe cet extrait du site "http://www.salondesentrepreneurs.com/financement/pret-creation " du voisin Français et force est de constater qu'il est nettement plus évolué et plus social pour l'entreprise que la belgique !

***//

                 Le prêt à la création d’entreprise

                   Jusqu’à 7 000 euros pour monter votre boîte !

Un petit plus pour votre trésorerie ! Tel est l’objectif du PCE (prêt à la création d’entreprise) qui permet de financer les frais de démarrage d’une activité. ***//


 

Mais encore ;

Le PCE est obligatoirement accompagné d’un prêt bancaire, à moyen ou long terme, dont le montant est compris entre deux et trois fois le montant du PCE, et dont les caractéristiques (taux, durée, garanties) sont libres et dépendent de la banque prêteuse. Autrement dit, si le montant de votre PCE est de 5 000 euros, vous devez obtenir un prêt bancaire d’un montant compris entre 10 000 et 15 000 euros. Pas toujours évident ! Mais il existe des solutions pour rassurer les établissements bancaires : Sofaris, filiale d’Oséo, peut garantir jusqu’à 70 % le montant du crédit complémentaire. Pour information d’ailleurs, le montant du prêt bancaire atteint en moyenne la somme de 10 882 euros. Concernant le montant du prêt, qui varie du simple à plus du triple, c’est à vous et à votre banquier de le déterminer. Il doit prendre en compte vos besoins et la nature du projet. Soyez réaliste : le prêt à la création d’entreprise finance les besoins immatériels de l’entreprise (achat de logiciels informatiques, frais de démarrage, réalisation de plaquettes commerciales, constitution du fonds de roulement...), tandis que le crédit bancaire est utilisé pour des investissements classiques (tels que stocks, travaux, machines...).

2. Quelles sont ses caractéristiques ?

La durée du prêt est fixée à cinq ans et, nouveau depuis avril 2004, le remboursement se fait avec six mois de différé d’amortissement du capital, suivi de 54 mensualités constantes à terme échu. Les intérêts des six premiers mois ne sont dus qu’au terme de cette période. À son lancement, la période de franchise du PCE était de douze mois et les remboursements étaient trimestriels. Ces réajustements ont été pris par Oséo-Bdpme en concertation avec les pouvoirs publics, afin de lisser la dette sur la trésorerie des créateurs et donc de pérenniser leurs projets. Le taux d’intérêt du PCE est identique à celui du prêt accordé par la banque, mais il ne peut dépasser un taux plancher égal au taux des emprunts d’État à cinq ans majoré de 1,70 %. Il était en moyenne de 4,71 % en 2005. Au niveau des formalités, rien de très compliqué. Le PCE s’obtient soit directement auprès de votre banque ou d’un établissement financier (180 banques ont signé une convention avec Oséo), soit avec l’appui d’un réseau d’accompagnement à la création (FIR, Adie, CCI, Boutiques de gestion...). Une fois que le banquier a donné son aval pour le prêt, il envoie un formulaire de demande (voir page 77) à l’organisme prêteur (Oséo-Bdpme). Les sommes sont décaissées sous trois semaines à compter de la réception du contrat signé par la banque et l’entrepreneur.

3. Puis-je en profiter et à quelles conditions ?

Les critères d’obtention sont larges et la majorité des créateurs qui en font la demande réussissent à décrocher un PCE. Que vous soyez entrepreneur individuel, dirigeant d’une société ou professionnel libéral, vous pouvez en effet y prétendre. Et ce quel que soit votre secteur d’activité (sauf activités agricoles, intermédiation financière ou location-promotion immobilière). L’entreprise doit cependant être en phase de création, c’est-à-dire avoir moins de trois ans ou avoir déjà un numéro siren. Elle doit respecter le critère "petit projet" et employer moins de 10 salariés. Le total des ressources mobilisées ne doit d’ailleurs pas dépasser 45 000 euros (prêts d’honneur, apports personnels, PCE, prêts bancaires... compris). Quant au créateur, il ne doit ni contrôler, ni diriger une autre société, ni être interdit bancaire. Il ne doit pas non plus avoir déjà bénéficié d’un financement bancaire à moyen ou long terme pour ce même projet.

4. Comment remplir un dossier béton ?
Pour rassurer le banquier qui va déclencher la demande de PCE, le mieux est d’arriver avec le maximum de fonds propres. N’hésitez pas à vous rapprocher de structures comme l’Adie ou FIR (France initiative réseau), qui accordent des prêts aux créateurs disposant de moyens modestes. Si vous êtes éligible au dispositif Eden (jeunes et titulaires de minima sociaux), sachez que le PCE peut se cumuler avec cette avance remboursable, dans la limite du prêt bancaire associé. Cherchez également à inspirer confiance au banquier. Faites-vous accompagner par des réseaux qui vous aideront à peaufiner votre projet (dossier de présentation bien ficelé, estimation précise de vos besoins, prévisionnels soignés...). Vous y gagnerez en crédibilité.


Il y a des propositions similaires en belgique, mais de loin à comparer car c'est le désordre total et apparemment d'après mon parcours tout le monde sait tout mais personne n'a rien ..
..Extrait de mon expérience et ce qui s'en est suivi !!
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commentaires

V
ne t'inquiètes pas, en France c'est bien d'écrire qu'on aide les entreprises, mais sur le terrain ce n'est pas la même donne ! Tant que ce sera des fonctionnaires qui dirigeront les PCE, OSEO , etc ... Ca restera toujours le bordel en Europe entière !<br />  <br />  
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